Hidalgo inquiète Macron, certains ministres l’horripilent; L’affaire Duhamel n’en finit pas de faire des dégâts collatéraux dans les réseaux du pouvoir, le décolonialisme des ravages à l’Université; La droite hors les murs se cherche un champion pour 2022
130 milliards d’euros non dépensés en 2020 par les ménages, le pactole devrait atteindre 200 milliards l’année prochaine. Un record sur lequel l’économie française peut s’appuyer pour repartir, et de manière non éhontée.
En juillet dernier, les chefs d'Etat et de gouvernement européens s'accordaient autour d'un plan de relance de 750 milliards d'euros afin de surmonter la crise du Covid-19. Existe-t-il un risque de blocage par les Etats frugaux lors du vote du plan de relance ?
Le rôle des assureurs pendant la crise du coronavirus a été beaucoup critiqué. Face à l'ampleur de la crise, une proposition de taxe spéciale sur la profession a été évoquée.
Comme ceci a été évoqué ici ou là dans le courant du mois de mai, par exemple sur Tripalio.fr, la crise sanitaire du coronavirus a des conséquences financières importantes pour l'AGIRC-ARRCO. Ses recettes ayant largement diminué du fait du ralentissement brutal de l'économie nationale, l'organisme a dû demander une avance de 8 milliards d'euros à l'Etat afin de sécuriser sa trésorerie.
Agnès Saal avait été sanctionnée pour des frais de taxis indus dans l'exercice de ses fonctions. La Légion d’honneur vient de lui retirer, pour deux ans, son titre de chevalier et sa promotion au grade d'officier a été annulée.
A l'occasion d'une interview donnée, le 2 avril, au quotidien Les Echos par le ministre de l'Economie et le ministre des Comptes Publics, Bruno Le Maire a déclaré "Nous baissons la dépense publique de 3 points de PIB sur la durée du quinquennat. Nous baisserons également la pression fiscale de 1,4 point, nous allons plus loin que nos ambitions initiales".
D’après les chiffres de l’Assurance Maladie, les dépenses d’indemnités journalières (IJ) en lien avec les arrêts maladie (hors maternité) ont augmenté de 4,4 % en 2017.
Les dépenses de l'Etat épinglées par la Cour des comptes
La juridiction financière pointe du doigt la gestion du quinquennat Hollande, mais également celle de la première année de mandat d'Emmanuel Macron, rapporte Le Monde ce dimanche.
A Davos, Emmanuel Macron avait des allures de "rock star", passant aux yeux des décideurs présents comme étant "l’homme de la situation". Pourtant, il persiste à vouloir imposer le modèle français de dépense publique massive et de surendettement aboutissant à un chômage de masse et la faillite de son modèle social.
Les hôpitaux publics comptabiliseront 1,5 milliard€ de déficit fin 2017 contre moins de 500 millions en 2016, selon la Fédération Hospitalière Française (FHF). Cette rapide dégradation illustre la faillite du système administré de santé, qui coûte de plus en plus cher pour une qualité de moins en moins élevée des soins.
La Cour des Comptes vient de rendre un important rapport sur l'avenir de l'assurance-maladie. Au diagnostic sombre qui est dressé sur notre système de protection sociale obligatoire, la Cour propose des remèdes étatistes. Il est pourtant urgent d'ouvrir un débat de fond sur le modèle de société que nous voulons vraiment...
Ce mercredi 27 septembre, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire et son homologue des Comptes publics Gérald Darmanin ont présenté le projet de loi de finances pour 2018.
Les dépenses militaires de Paris dépasseront celles de Moscou en 2017. Au vu de la chute vertigineuse des dépensses russes en la matière et du contexte économique défavorable du pays, une chose est sûre : les capacités opérationnelles du Kremlin sont bien moindres qu'il n'y paraît.
Après avoir consacré vingt millions à préparer la fabrication de panneaux photovoltaïques, un industriel s'est trouvé dans l'impossibilité de commercialiser ses fabrications, pris dans le double étau de la concurrence chinoise et de la remise en cause d'aides de l'Etat.
Croissance : le PIB de la France n'a progressé ni au premier, ni au deuxième trimestre confirme l'Insee
Pour rappel, le gouvernement a récemment abaissé ses prévisions pour 2014 et 2015 et attend une croissance du PIB de 0,4% cette année et de 1,0% l'an prochain.